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Die Fakultäten gedenken ihre Studenten, die als Soldaten an die Front entsandt wurden und für ihr Land starben. Von den Dekanen initiiert, nimmt dieses Gedenken je nach Stadt unterschiedliche Formen an, etwa die Errichtung eines Monuments oder ein goldenes Buch. Die Verwirklichung dieser Unternehmungen erstreckt sich über viele Jahre, manchmal bis zur Mitte der 1920er Jahren, und, aufgrund von Schwierigkeiten, etwa bei der Sicherung von Informationen, bleiben sie manchmal unvollendet oder werden in ihren Umfang reduziert.
Hommage und Gedenkfeier
« Discours prononcés par M. Peretti, étudiant en droit, et par M. Larnaude, doyen de la faculté, à la cérémonie de remise de la palme en mémoire des étudiants morts pour la France. [8. Juli 1915] », Registres de délibérations du conseil et de l'assemblée de la Faculté de Droit de Paris , séance de l'assemblée du 16 juillet 1915.
Archives nationales, cote AJ/16/1799.
Im Haupteingang der juristischen Fakultät in Paris wurden bereits im September 1914 Tafeln mit einer regelmäßig aktualisierten Liste der Gefallenen aufgestellt. Die erste Zeremonie zur Ehrung dieser Studenten fand jedoch am 8. Juli 1915 statt, als die Studenten der Fakultät eine Palme überreichten, die sie für ihre gefallenen Kommilitonen angeboten hatten. Die hier wiedergegebenen Reden des Studentenvertreters und des Dekans Ferdinand Larnaude sind von der Idee des Rechtskriegs durchdrungen.
Abschrift : « Monsieur le Doyen,mesdames,m.m. les Professeurs,m.m.« Il va donc être permis au statutaire de substituer au ‘Gloria Victis’ la claironnante ‘Gloire aux Vainqueurs’ pétrie de la terre des tranchées ! Ce rêve que l'artiste faisait passer au-dessus du bivouac endormi est donc devenu la réalité ! C'est que la France n'admettra jamais que son cycle de grande nation soit, comme son ennemi l'affirme, entièrement parcouru – sa loi d'éternel devenu ne lui permet-elle pas de crier que l'âge d'or de sa destinée n'est pas dans le passé mais bien dans l'avenir !Rénové, le pays apportera à ceux qui sont morts pour lui le tribut solennel de sa reconnaissance. Nous n'avons pas voulu cependant pour ceux-là de l'anonymat de l'ossuaire, […] »
« Discours prononcés par M. Peretti, étudiant en droit, et par M. Larnaude, doyen de la faculté, à la cérémonie de remise de la palme en mémoire des étudiants morts pour la France. [8. Juli 1915] », Registres de délibérations du conseil et de l'assemblée de la Faculté de Droit de Paris , séance de l'assemblée du 16 juillet 1915 (Folge).
Archives nationales, cote AJ/16/1799.
Abschrift : « […] fiers de nos disparus, nous venons pieusement déposer cette palme à leur grande mémoire. Salut à vous qui, le jour de l'appel aux armes, possédant dans toute leur intensité ces intangibles principes de droit que de savants maîtres vous avaient enseignés ; le cerveau tout rayonnant de ces idées, forces qui sont le fruit de la vraie culture et désignent l'idéal sûr, êtes accourus à la Frontière pour faire triompher par le monde le vieil adage ‘Le Droit prime la Force.’ Salut à vous qui nous faites aujourd'hui presque honte lorsqu'il s'agit de célébrer paisiblement vos angoisses et vos souffrances qui vous ont hausser au plus beau des martyrs !!! Vos noms ? Il ne les faut pas citer. En oublier un serait sacrilège. Tous c'est en vous souvenant qu'une nation est une âme, que la France de demain devait être faite de plus de morts que de vivants, qu'allègrement sur l'Yser, en Champagne, en Argonne vous avez été nos superbes défenseurs : merci ! Son passé n'était-il pas imprégné de cet orgueil insensé qui poussait Barberousse à la Monarchie Universelle et qui faisait écrire à Frédéric List au xix e siècle : ‘Mon pays sera parfait le jour où il comprendra la Belgique, la Hollande et la Suisse.’L'Allemagne n'a donc pas renoncé à ses traditions.Vous n'avez pas oublié les vôtres !N'étiez-vous pas les frères de Bara et les descendants du grand Renaud de la chanson de Roland qui aux siens laissa en adieu :‘Tu diras à mes fils qu'ils songent à bien faire.’(8 juillet 1915)Discours de Mr le Doyen.Au nom de la Faculté de Droit de l'Université de Paris, éprouvée par tant de pertes cruelles, mais si fière du courage indomptable de ses étudiants, de ses jeunes maîtres et de ses employés morts au Champ d'Honneur, cités à l'ordre du jour ou décorés, je vous remercie de votre pieuse pensée.La palme que vous leur offrez magnifie leur glorieuse mémoire.Emblème du triomphe du sacrifice et de l'immortalité, elle remplace les voiles de deuil dont nous avions dans le […] »
« Discours prononcés par M. Peretti, étudiant en droit, et par M. Larnaude, doyen de la faculté, à la cérémonie de remise de la palme en mémoire des étudiants morts pour la France. [8. Juli 1915] », Registres de délibérations du conseil et de l'assemblée de la Faculté de Droit de Paris , séance de l'assemblée du 16 juillet 1915 (Ende).
Archives nationales, cote AJ/16/1799.
Abschrift : « […] premier élan de notre douleur, entouré les noms de nos chers disparus, et constitue à la fois un encouragement et un symbole.Elle proclame que, dans cette maison, asile du Droit, tous jeunes et anciens, élèves et maîtres, employés et chef, nous avons l'âme illuminée par une même pensée, la pensée de vaincre !Et nous vaincrons, parce que nous en avons la volonté et parce que cette victoire est nécessaire au monde.Elle est nécessaire pour que la civilisation ne périsse pas, pour qu'elle ne sombre pas dans le gouffre d'horreurs, d'atrocités sans précédents, de crimes, dont chaque jour nous apporte une forme inédite, dans lequel un peuple, à jamais déshonorer voudrait la précipiter.Mais cette palme est aussi un symbole.De même que la branche de l'arbre du désert se relève toujours d'elle-même, quelque effort qu'on fasse pour la courber, de même la France ne cède, un instant, que pour se redresser plus fière et ajouter à sa destinée, déjà si chargée de gloire, dans les siècles passés, une gloire nouvelle.À cette gloire, fruit de combats dont le profit n'a jamais été le but et qui n'a jamais servi que les plus nobles intérêts, encore plus ceux des autres peuples que les siens, vous êtes associés pour toujours, jeunes héros, tombés au champ d'Honneur ; vous dont le sang a coulé pour la plus noble des causes !Vos noms que nous inscrirons plus tard, sur le marbre, en lettres d'or, apprendront aux générations qui vont vous succéder que vous avez dû mourir pour la défense du Droit !À cette question : est-ce le Droit ou la Force, par qui sera gouvernée l'humanité ? question qui devrait lancer dans l'arène tous les peuples qui ne veulent pas porter le joug, vous avez répondu, vous, en donnant votre vie !Et d'autres sont prêts, ici, autour de moi, noblesse nouvelle qui se lève, à vous suivre dans le sacrifice !Non, ainsi défendu, le Droit ne peut pas périr !Non le droit éternel, le droit des petits peuples, le droit des humbles, le droit générateur de plus de liberté, de plus de dignité pour la créature humaine, ce droit que nous enseignons ici et qu'on enseigne dans toutes les universités françaises, ne succombera pas ! Il ne sera pas vaincu, il ne peut pas être vaincu, car il a pour soldat la France immortelle ! »
« Une manifestation des étudiants roumains à la faculté de droit », Le Temps , n° 20168, 24 septembre 1916.
Source gallica.bnf.fr / Bibliothèque nationale de France.
Am 27. August 1916 trat Rumänien an der Seite der Entente in den Krieg ein und rief die allgemeine Mobilmachung aus. Daraufhin wurden die rumänischen Studenten der juristischen Fakultät in Paris aufgefordert, in ihr Land zurückzukehren um an die Front geschickt zu werden. Am 11. September 1916 legen sie vor ihrer Abreise Wert darauf, eine Marmorplatte zu übergeben, um das Andenken an ihre französischen im Kampf gefallenen Kommilitonen zu ehren. Der Artikel in Le Temps gibt die Rede wieder, die der promovierte Jurist Jancovici bei dieser Zeremonie gehalten hat.
« Nouvelles Religieuses à l'Insigne Basilique. Messe de Requiem », Express du Midi , n° 8341, vendredi 12 novembre 1915.
Source Ville de Toulouse, Bibliothèque municipale de Toulouse-Rosalis, cote P014
Ankündigung der jährlichen Messe für die verstorbenen Studenten und Professoren der juristischen Fakultät von Toulouse.
« Necrologie », Le Temps , 19 décembre 1916.
Source gallica.bnf.fr / Bibliothèque nationale de France.
Ende 1916/Anfang 1917 wurden auf Initiative der Pariser Studentenvereinigungen katholische, protestantische und jüdische religiöse Zeremonien für die gefallenen Studenten abgehalten.
Eglise St -Etienne du Mont. Service en l'honneur des étudiants morts pour la patrie. L'assistance , Paris, décembre 1916.
Source coll. La contemporaine, cote VAL 346/088.
Fotografie der im vorherigen Dokument erwähnten und am 20. Dezember 1916 in Paris abgehaltenen katholischen Zeremonie für die auf dem "Champ d'honneur" gefallenen Studenten.
Eugène Hubert, Discours [Feierliche Eröffnung der Studiengänge 1919] , Liège, 21 janvier 1919
Source ULiège
Digitalisiertes Dokument
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Als Eugène Hubert seinen Posten als Rektor der Universität Lüttich antrat, wurde er damit beauftragt, im Januar 1919 die Rede zur Wiedereröffnung der Vorlesungen nach dem Krieg zu halten. Er nutzt diese Rede, um die im Krieg gefallenen Studenten zu ehren.
Denkmäler
« Loi relative à la commémoration et à la glorification des morts pour la France au cours de la grande guerre »Journal Officiel de la République , 26 octobre 1919.
Source gallica.bnf.fr / Bibliothèque nationale de France.
Zwar bemühten sich Gemeinden und Verbände nach Kriegsende verstärkt darum, ihre Toten durch die Errichtung von Denkmälern zu ehren, doch wurde nur am 25. Oktober 1919 schließlich ein Gesetz verabschiedet, das die verschiedenen Instrumente, die die Nation zur Ehrung ihrer Toten einsetzte, wie Gästebücher, im Pantheon hinterlegte Register oder Kriegerdenkmäler, in einen Rahmen einbettete.
« La Faculté de droit à la guerre. [Rede von Maurice Hauriou vom 24. Juni 1919] », L'Express du Midi , 25 juin 1919.
Source Ville de Toulouse, Bibliothèque municipale de Toulouse-Rosalis, cote P014.
Die Fakultät, die sich für die Erstellung eines Goldenen Buches engagiert, um die für Frankreich gefallenen Studenten zu ehren, gedenkt durch ihren Dekan zum ersten Mal ihres Andenkens. Maurice Hauriou erinnert mit der Erstellung dieser " Trauer- und Glorioseliste" an die Bedeutung der kollektiven und individuellen Opfer.
« Tableau d’honneur des étudiants de l’Université de Toulouse morts pour la France », Le Cri de Toulouse , 13 mars 1920.
Source Ville de Toulouse, Bibliothèque municipale de Toulouse-Rosalis, cote P3676
Im Juni 1919 wurde an der juristischen Fakultät von Toulouse eine provisorische Ehrentafel eingeweiht. 1920 veröffentlichte Le Cri de Toulouse dieses von den Verantwortlichen des studentischen Teils der Zeitung erstellte Tableau d'honneur des étudiants de l'université de Toulouse morts pour la France (Ehrentafel der Studenten der Universität Toulouse, die für Frankreich gestorben sind) auf seinen Seiten.
« Tableau d’honneur des étudiants de l’Université de Toulouse morts pour la France », Le Cri de Toulouse , 13 mars 1920 (Ende).
Source Ville de Toulouse, Bibliothèque municipale de Toulouse-Rosalis, cote P3676
« La région - Aux familles d'étudiants en droit », Le Cri du Nord et des régions libérées , 1. Jahr, N. 57, 22 September 1919.
Source Bibliothèque municipale de Lille, cote JX 208.
Digitalisiertes Dokument
hier verfügbar .
Wie in Paris und Toulouse übermittelte der Dekan der Rechtsfakultät in Lille gegen Ende des Krieges Rundschreiben an die Familien der Studenten, um die Verluste der im Kampf vermissten Personen zu ermitteln. Im Herbst 1919 veröffentlichte er in der Presse einen Aufruf zu dieser Zählung. Über das Ziel hinaus, eine Bestandsaufnahme der Nachkriegsfakultät zu erstellen, zeichnet dieses Projekt bereits die Erinnerungs- und Anerkennungsarbeit für die Studentensoldaten vor, die zur Anbringung von Gedenktafeln an den Universitäten führen wird.
Faculté de droit de l'université de Lille - 1914-1918 - Morts pour la France [Gedenktafel].
Source Thierry Coisne (site : MemorialGenWeb).
Die Fakultät in Lille beteiligt sich am Gedenken an die "Gefallenen für das Vaterland", indem sie eine Gedenktafel anbringt, auf der alle im Krieg gefallenen Professoren, Studenten und Bediensteten verzeichnet sind. Louis Boulard, Professor für Rechtsgeschichte, ist auf dieser Tafel ebenso zu finden wie auf den Tafeln der Pariser Rechtsfakultät, an der er lehrte, und des Kriegerdenkmals in Vannes, der Heimat seiner Frau.
Adrien Antoniol, Bâtiment A – Hall des marbres, monument aux morts de l’ULB [Photographie] , s.d.
Source ULB-DBIS
Adrien Antoniol, Statue du monument aux morts de l’ULB - Hall des marbres [Photographie], s.d.
Source ULB-DBIS
15-3-25, monument aux morts de la faculté de droit , Agence Rol, 1925.
Source gallica.bnf.fr / Bibliothèque nationale de France.
Um die gefallenen Studenten und ehemaligen Studenten der juristischen Fakultät in Paris zu ehren, wurden zwei Marmorplatten mit ihren Namen angefertigt und zu Beginn des Semesters 1923 angebracht. Obwohl sich die Frage nach einer Einweihungszeremonie bereits im Dezember des Jahres in der Fakultätsversammlung stellte, wurde sie erst 1925 konkretisiert.
[Flugblatt für die Einweihungszeremonie des Kriegerdenkmals] « Université de Paris - Faculté de Droit - Étudiants ! », mars 1925.
Source bibliothèque Cujas, cote ARCHIVES 146.
Die seit Dezember 1923 erwartete Einweihung des Denkmals für die Toten der juristischen Fakultät in Paris wurde schließlich für den 15. März 1925 angekündigt, doch dann brach die Affäre um Georges Scelle aus. Zwar wurde das Datum beibehalten, aber es wurden Flugblätter wie das hier abgebildete verteilt, in denen eine Art Waffenstillstand um die Ehrung der Toten gebeten und eine Zeremonie angekündigt wurde, die quasi hinter verschlossenen Türen zwischen Offiziellen und den Familien der Studenten stattfinden sollte.
Le souvenir. Monsieur Gaston Doumergue, Président de la République, préside une cérémonie commémorative en l’honneur des morts de la Faculté de Droit à Paris , Journal Gaumont Actualités, 15 mars 1925.
Source Gaumont Pathé Archives, référence 2512GJ 00002.
« Le monument aux morts de l'Association des Étudiants de Paris sera-t-il un jour inauguré ? », Journal des mutilés, réformés et blessés de guerre , 19e année, n° 933, 16 décembre 1934.
Source gallica.bnf.fr / Bibliothèque nationale de France.
Anfang der 1920er Jahre ließ die Association générale des étudiants de Paris ein Kriegerdenkmal für die gefallenen Studenten anfertigen. Mit der Gestaltung wurde der Bildhauer Joanny Durand beauftragt, der das Denkmal anfertigte und lieferte. Das Denkmal wird jedoch nie eingeweiht und 1932 in der Garage der Maison des étudiants in der Rue de Tournelles wiedergefunden. Das Hauptmotiv wurde 1934 in den Hof der juristischen Fakultät gebracht, wo es schließlich aufgestellt wurde.
Le monument aux morts de l’Association générale des étudiants de Paris est transporté dans la cour de la faculté de Droit , Actualités Pathé, 12 décembre 1934.
Source Gaumont Pathé Archives, référence RO 33 4.
Goldene Bücher
Livre d'or de la Faculté de Droit de Toulouse - Titelseite.
Source Archives de l’Université Toulouse 1 Capitole – Série Z, registres patrimoniaux.
Das Gästebuch der juristischen Fakultät von Toulouse ist ein dicker, in braunes Leder gehüllter Band, dessen erste Umschlagseite mit einem Band aus goldenen Blumen geschmückt und mit einer Passage aus der Aeneis angereichert ist: Manibus date lilia plenis , "Gebt Lilien mit vollen Händen".
Livre d'or de la Faculté de Droit de Toulouse - Erste Seite.
Source Archives de l’Université Toulouse 1 Capitole – Série Z, registres patrimoniaux.
Erste Seite des Goldenen Buchs, die in handschriftlicher Form erhalten geblieben ist. In der Sitzung vom 2. Dezember 1918 "teilt der Dekan seinen Kollegen mit, dass die Akten bezüglich der Erstellung des Goldenen Buches ungefähr zusammengestellt sind und insbesondere die der Studenten der juristischen Fakultät, die für Frankreich gefallen sind." Es wurde 1925 endgültig erstellt. Im Goldenen Buch werden 229 Namen genannt. Das Dokument besteht ohne einleitenden Text aus einer alphabetischen Liste der für Frankreich gefallenen Studenten. Zu jedem von ihnen werden verschiedene Angaben gemacht: Zivilstand, Schulbildung, akademischer Grad, manchmal der Beruf, Todesdatum und -ort, Auszeichnungen und Zitationen, wenn es welche gibt.
Livre d'or de la Faculté de Droit de Toulouse , notice sur Charles Alric.
Source Archives de l’Université Toulouse 1 Capitole – Série Z, registres patrimoniaux.
Eintrag über Charles Alric (1894-1916) im Goldenen Buch der juristischen Fakultät von Toulouse. Mehrfacher Preisträger der Fakultät, erhielt er 1913 seine Lizenz und wurde Rechtsanwalt. Dekan Hauriou nannte ihn mehrmals während des Konflikts und 1919 bei der Einweihung des provisorischen Denkmals, das den Gefallenen der Fakultät gewidmet ist, als Beispiel.
Livre d'or de la Faculté de Droit de Toulouse , notice sur Louis Deloume.
Source Archives de l’Université Toulouse 1 Capitole – Série Z, registres patrimoniaux.
Eintrag von Louis Deloume (1893-1915) im Goldenen Buch der juristischen Fakultät von Toulouse. Er gehört zu einer Familie von Juristen aus Toulouse und Professoren an der juristischen Fakultät im 19. Jahrhundert. Dessen Großvater, Antonin Deloume, war von 1906 bis 1911 Dekan. L. Deloume machte 1913 seinen Abschluss in Rechtswissenschaften und war 1914 Rechtsanwalt. Er starb bei einem deutschen Gegenangriff am 30. September 1915.
Marc Araou, 2470412.
Source Archives départementales de la Haute-Garonne, cote ADHG 3160W247, p. 412.
Fotografie von Marc Araou (1896-1918) in Pilotenkleidung. 1914 im ersten Jahr seines Jura-Studiums eingeschrieben, meldete er sich am 4. Januar 1915 freiwillig zum Militär und "bat darum, an die Front zu gehen". Nach einer Verwundung setzte er seinen Dienst für sein Land fort, indem er 1917 als Pilot in die Staffel Nr. 150 eintrat. Nach einem Unfall wurde er evakuiert und starb am 28. Mai 1919. Über die Anerkennung seines Status als "Toter für Frankreich" stritten sich der Dekan Hauriou und das Standesamt von Béziers, das verlangte, dass seine Familie eine solche Eintragung in der Sterbeurkunde beantragen sollte. Marc Araou wurde in das Goldene Buch aufgenommen, aber sein Name wurde aufgrund der langsamen Verwaltungsabläufe nicht auf dem Denkmal der Studenten der juristischen Fakultät von Toulouse verzeichnet.
Le Doyen de la Faculté de Droit à Monsieur l'Officier chargé des effectifs au 117e Régt d'artillerie lourde [Brief von Dekan Hauriou zur Informationsbeschaffung über Ferdinand Ducassou], Toulouse, 24 mars 1922.
Source Archives départementales de la Haute-Garonne, cote ADHG 3160W329, p. 73.
Brief, den der Dekan Hauriou am 24. März 1922 an den Personaloffizier des 117. Regiments der schweren Artillerie richtete, um Informationen über Ferdinand Ducassou einzuholen. Dieser war nur ein Jahr lang (1910-1911) Student in Toulouse gewesen. Nach zahlreichen Verwaltungsvorgängen wurden schließlich Informationen über Ducassous Werdegang eingeholt, in denen auch sein Tod aufgrund von Verletzungen am 3. März 1920 im Krankenhaus Saint-Pierre in Marseille erwähnt wurde.
Transcription : « Faculté de droit. Université de Toulouse. Toulouse, le 24 mars 1922Le Doyen de la Faculté de Droit à Monsieur l'Officier chargé des effectifs au 117e Régt d'artillerie Lourde.En vue de l'établissement du ‘Livre d'Or’ de notre Faculté de Droit, je vous serais reconnaissant de me fournir tous les renseignements que vous pourriez posséder sur M. Ducassou (Ferdinand-Jean) né le 27 novembre 1885 à Carcassonne mobilisé le 2 août 1914 comme brigadier-fourrier au 16e dragon, plus tard affecté au 117e R.A.L.grièvement blessé aux combats durant Verdun (à une date inconnue) et décédé des suites de ses blessures à l'hôpital St Pierre à Marseille (à une date inconnue)Le Doyen,M. Hauriou »
[Brief von Dekan Hauriou zur Informationsbeschaffung über Louis Crouzet-Rayssac], Toulouse, 18 décembre 1916.
Source Archives départementales de la Haute-Garonne, cote ADHG 3160W347, p. 21.
Brief von Dekan Hauriou an den Vater von Louis Crouzet-Rayssac vom 18. Dezember 1916, um Informationen über das Leben seines Sohnes zu sammeln. Die Antwort traf im Januar 1917 ein. Der Vater von Louis Crouzet-Rayssac gab an, dass sein Sohn, der am 19. Juli 1910 seinen Abschluss in Rechtswissenschaften gemacht hatte, die ersten beiden Jahre seines Doktorats in Rechtswissenschaften abgeschlossen hatte. Seine Dissertation war beim Sekretariat der Fakultät angemeldet, aber am 2. August 1914, als der Krieg ausbrach, noch nicht verteidigt worden. Er erwähnt noch, dass sein Sohn reformiert sei, sich aber nach sechs vergeblichen Versuchen freiwillig als Artillerist im 9. Feldartillerieregiment gemeldet hatte (17. September 1914). Er wurde krank (doppelter Lungenstau im Oktober 1914) und am 20. Juli 1916 schwer verwundet. Sein Vater informierte Doyen Hauriou darüber, dass Louis Crouzet-Rayssac am 21. Juli 1916 gestorben war.
Livre d'or de la Faculté de Droit de Paris , [s.n.], 1925.
Bibliothèque Cujas, cote 59.304. Digitalisiertes Dokument
hier einsehbar .
Als die ersten Nachrichten von im Krieg gefallenen Studenten eingingen, tauchte an der juristischen Fakultät in Paris die Idee eines Gedenkbuchs auf. Ab Ende 1914/Anfang 1915 wurden Dokumente gesammelt. Die Umsetzung dauert jedoch lange, sodass das Werk schließlich 1924 verfasst und 1925 gedruckt wurde. Es enthält die Namen der rund 700 Studenten, ehemaligen Studenten, Professoren und Mitarbeiter, die für Frankreich gefallen sind. Das Verfassen des Vorworts ist eine der letzten Gelegenheiten für Ferdinand Larnaude, für den Rechtskrieg zu werben. [Brief von Larnaude über einen ehemaligen syrischen Studenten, der im Kampf gefallen ist], Le Temps , 12 octobre 1915, n° 19820.
Source gallica.bnf.fr / Bibliothèque nationale de France.
Als der Dekan Ferdinand Larnaude im Oktober 1915 in Le Temps die Nachricht vom Tod auf dem Schlachtfeld eines syrischen Studenten, ehemaliger Student der juristischen Fakultät in Paris, gelesen hatte, wollte er der Zeitung unbedingt eine Hommage der Fakultät zukommen lassen. Nebenbei erwähnte er ein Gedenkbuch für ausländische Studenten, das nach dem Krieg erstellt werden sollte. Das Buch wurde nie fertiggestellt, und Mohammed Mortada Mahmassani wurde nicht in das Gedenkbuch der juristischen Fakultät in Paris aufgenommen.